Le prix d’un(e) Mexicain(e)
« Finies les folies! .. » c’est terminé! Le gouvernement mexicain a décidé d’agir…
Après avoir été témoin depuis plusieurs années de la prise de possession des endroits les plus enviés et les plus fréquentés principalement de la côte Atlantique et maintenant du Pacifique par des promoteurs étrangers (en provenance surtout des États-Unis, du Canada et d’Europe), aujourd’hui nul ne peut acheter une terre, exploiter un commerce s’il n’est pas mexicain.
(Je n’ai pas lu le texte de la loi…) Cette restriction importante s’applique surtout pour ceux et celles qui désirent exploiter les bords de la mer…les plages, etc…
Or vous vous en doutez, il faut pouvoir maintenant se payer un mexicain ou en épouser un ou une ou Dieu sait quoi!
Et ça se fait, c’est somme toute un coût bien marginal à payer que d’obtenir le consentement d’un mexicain qui accepte pour la forme de paraître comme le principal propriétaire d’une terre, d’un commerce ou d’une exploitation touristique dont il ne sera peut-être que le prête-nom.
Depuis que je suis à Zipolite, j’ai fait la rencontre de plusieurs personnes qui y viennent justement pour pouvoir se payer un tel investissement et sont par défaut à la recherche du mexicain idéal pour en arriver à conclure une telle transaction.
Tout s’achète à condition d’y mettre le bon pourboire!
Ceux que je rencontre, à qui je parle sont nombreux à me décourager d’aller vers la côte Atlantique tellement ils sont scandalisés et déçus d’y avoir constaté que dans certaines zones de la côte du Yucatan (cette merveille historique) tout ne se fait qu’en anglais, du service au table, à la réception à l’hôtel; même le menu et l’addition vous arrivent par défaut d’abord en anglais…
Si les amerlocs se sont sentis menacés en Floride, craignant que l’espagnol, langue omniprésente, devienne une seconde langue officielle, et que s’inspirant en partie du modèle de la loi 101 du Québec, ont déclaré l’anglais seule langue officielle de la Floride. Au Mexique au nom de l’argent et du pouvoir financier, jamais ils ne se sont excusés pour envahir le territoire et imposer tout comme à Nuevo PuertoVaillarta, leurs mœurs et leur langue et où par conséquence l’espagnol est devenu la langue seconde à peine tolérée et entendue…
Croyez-vous que cette contrainte supplémentaire qu’impose maintenant le gouvernement mexicain (celle d’être propriétaire mexicain) va réussir à discipliner ce type d’invasion barbare ?
Je vous laisse le soin d’y répondre, moi ma réponse est déjà toute faite…
« Finies les folies! .. » c’est terminé! Le gouvernement mexicain a décidé d’agir…
Après avoir été témoin depuis plusieurs années de la prise de possession des endroits les plus enviés et les plus fréquentés principalement de la côte Atlantique et maintenant du Pacifique par des promoteurs étrangers (en provenance surtout des États-Unis, du Canada et d’Europe), aujourd’hui nul ne peut acheter une terre, exploiter un commerce s’il n’est pas mexicain.
(Je n’ai pas lu le texte de la loi…) Cette restriction importante s’applique surtout pour ceux et celles qui désirent exploiter les bords de la mer…les plages, etc…
Or vous vous en doutez, il faut pouvoir maintenant se payer un mexicain ou en épouser un ou une ou Dieu sait quoi!
Et ça se fait, c’est somme toute un coût bien marginal à payer que d’obtenir le consentement d’un mexicain qui accepte pour la forme de paraître comme le principal propriétaire d’une terre, d’un commerce ou d’une exploitation touristique dont il ne sera peut-être que le prête-nom.
Depuis que je suis à Zipolite, j’ai fait la rencontre de plusieurs personnes qui y viennent justement pour pouvoir se payer un tel investissement et sont par défaut à la recherche du mexicain idéal pour en arriver à conclure une telle transaction.
Tout s’achète à condition d’y mettre le bon pourboire!
Ceux que je rencontre, à qui je parle sont nombreux à me décourager d’aller vers la côte Atlantique tellement ils sont scandalisés et déçus d’y avoir constaté que dans certaines zones de la côte du Yucatan (cette merveille historique) tout ne se fait qu’en anglais, du service au table, à la réception à l’hôtel; même le menu et l’addition vous arrivent par défaut d’abord en anglais…
Si les amerlocs se sont sentis menacés en Floride, craignant que l’espagnol, langue omniprésente, devienne une seconde langue officielle, et que s’inspirant en partie du modèle de la loi 101 du Québec, ont déclaré l’anglais seule langue officielle de la Floride. Au Mexique au nom de l’argent et du pouvoir financier, jamais ils ne se sont excusés pour envahir le territoire et imposer tout comme à Nuevo PuertoVaillarta, leurs mœurs et leur langue et où par conséquence l’espagnol est devenu la langue seconde à peine tolérée et entendue…
Croyez-vous que cette contrainte supplémentaire qu’impose maintenant le gouvernement mexicain (celle d’être propriétaire mexicain) va réussir à discipliner ce type d’invasion barbare ?
Je vous laisse le soin d’y répondre, moi ma réponse est déjà toute faite…
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